- Ça dénote quand même une certaine pauvreté de pensée, ces onomatopées, ces approximations...
-Ouais...
Il se trompait. Ma pensée allait bien. Si je parlais mal, c'était parce que je parlais le langage du monde tel que je le connaissais, et si je parlais mal à lui précisément, c'était parce qu'il me parlait peu, et que je ne voyais pas pourquoi j'aurais fait des efforts pour lui faire plaisir.