J'aurais pourtant cru que les chats survivraient.
Les chats sauvages étaient de parfaites machines à tuer. Mais la variété domestique avait des dents, des mâchoires et un cerveau plus petits que leurs ancêtres sauvages, parce que les vieilles dames les préféraient ainsi.
J'ai toujours pensé que les chats faisaient semblant. Ils n'étaient pas si coriaces. Au fond, c'étaient que des emmerdeurs.