La finance n'aurait jamais eu le pouvoir de mettre le gouvernement dans l'embarras, car, si cela avait été le cas, ce seraient les banquiers et non les chefs de gouvernement qui auraient eu le contrôle. La main qui donne est au-dessus de la main qui prend. L'argent n'a pas de patrie. Les financiers n'ont aucun patriotisme et pas la moindre décence. Leur seul but est le gain.
[Commentaire : ces propos, prêtés par l'auteur à Napoléon, ne vous rappellent rien ? Allons, un discours célèbre d'un homme politique ? Vous trouvez ?]