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3.33/5 (sur 18 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Psychologue spécialisée dans l'adaptation scolaire et professionnelle, elle a choisi le genre policier car c'est son genre littéraire préféré.
Elle fait partie de l'association des écrivains bretons.
Elle a publié deux romans sous la forme de feuilletons d'été, dans le journal L'Yonne Républicaine, en 2003 et en 2004 : "Attentat à Belle-Ile" et "Le ruban rouge".
Elle écrit depuis 2017 sur une plateforme numérique et développe les enquêtes d'un policier récurrent : le commissaire Vétoldi.


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Citations et extraits (25) Voir plus Ajouter une citation
La réceptionniste affiche un si large sourire de connivence qu'Inès décide de ne pas la décevoir en lui révélant ses origines familiales.
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Le rêve n’a jamais tué personne. Si, Marc, Marc a rêvé de l’épouser et il en est mort. Tout en se disant cela, elle s’en étonne elle-même. Serait-ce vrai ? Est-il mort d'avoir voulu se marier avec elle ? Si c’est le cas, qui avait intérêt à ce que ce mariage ne se fasse pas, et plutôt, à ce que le divorce ne se fasse pas ? Véronique Blanchet-Landon était sa femme depuis longtemps, mais il avait une maîtresse attitrée dont il disait à Marine qu’il l’avait quittée. Pourtant elle revenait sans cesse à la charge pour le revoir. Il voulait refaire sa vie avec Marine, il voulait des enfants avec elle ; Les larmes inondent son visage et elle se prend à murmurer son nom : Marc, Marc, mon amour, pourquoi es-tu parti de ma vie ? Qui t’a assassiné ? Dis-le-moi pour qu’au moins, je te venge.
Si je n’avais pas si peur, je parlerais au commissaire Vétoldi mais j’ai trop peur. Si l’homme que j’ai vu cette nuit-là à l’hôpital est son assassin, il cherchera à me supprimer. Il a été capable de me faire hospitaliser de force, il a tous les pouvoirs sur moi, le pouvoir de la vie et de la mort.
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Elle a peur, c’est la raison pour laquelle elle se cache. Hier, nous avons lancé un appel à témoins et je suis très étonné qu’il n’y ait pas eu davantage de réactions ; elle est ravissante et ses yeux turquoise sont remarquables. Enfin, comment est-il possible qu’elle ait pu emprunter le métro, qu'elle se soit déplacée à travers la capitale, tout cela sans que personne ne la remarque, c‘est invraisemblable ! Décidément les hommes ne sont plus ce qu’ils étaient. J’étais persuadé qu’ils se manifesteraient en nombre et je me suis lourdement trompé.
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Ces délires d’adolescents peuvent marquer le début d’une schizophrénie, ils sont alors suivis d’autres crises délirantes, ou bien ils sont passagers, et s'ils ne se renouvèlent pas, la personne est considérée comme guérie. On ne sait pas toujours pour quelles raisons certains jeunes craquent, mais on est sûrs que la fumette n’est pas pour rien dans l’apparition de ces crises. Cette réponse vous satisfait-elle ? À défaut, adressez-moi cette jeune femme, je pourrais alors vous donner un avis plus circonstancié.
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Marc était un homme de devoir, il ne pouvait se résoudre à trahir sa femme en l'abandonnant, il avait donné sa parole en l’épousant, il ne voulait pas la remettre en cause.
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Je suis amoureux de ma femme ; les autres femmes, je ne les vois même pas, et puis, Marine Parly est une gamine. J’aime les femmes de mon âge, je reconnais que dans mon milieu, cela se fait rare, mais il en est ainsi pour moi. Je trouve que les femmes de quarante, voire de cinquante ans, ont plus de choses à raconter que les filles de vingt ans. Vous voyez, je fais le raisonnement inverse d’un certain humoriste, qui lui, ne jure que par les femmes très jeunes.
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Voilà bien les mœurs de notre temps, s’exprimer devant les medias, le cou enroulé dans une écharpe de cachemire rouge ou blanche, le corps sanglé dans un costard en lainage italien, de coupe anglaise, des lunettes en écaille de tortue sur le nez, les cheveux argentés soigneusement ondulés et les mains manucurées. Avec cette tronche, vous pouvez dire n’importe quelle ânerie, vous serez admiré, respecté, glorifié et invité par les medias à vous exprimer.
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En tant que lecteur de polars, cela m'amuse toujours de découvrir la signature du criminel. Elle a un sens particulier pour lui, par rapport à son histoire. Je me demande si le nouveau mort de cette nuit à l’hôpital P. ne serait pas lui aussi la victime d'un meurtre, contrairement à ce qui a été diffusé aux nouvelles. Ce mort, ce dernier mort portait-il un signe distinctif ?
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J’ai adoré faire l’amour dans cette atmosphère très particulière. Tout paraît calme et à n’importe quel moment, un malade peut appeler et tout est chamboulé. J’aime le monde médical. J’aurais voulu être médecin mais j’ai raté la première année, j’étais dégoûté, du coup, je n’ai pas repiqué et j’ai entrepris des études de biologie jusqu’au doctorat.
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Je ne me verrais pas courtiser une femme dont aucun homme n’aurait voulu. J’ai désiré Amélie parce qu’elle couchait avec Marc depuis notre premier séjour ensemble, au Pérou. Mon plaisir de l’épouser était décuplé par le fait que j'avais le sentiment de la voler à Marc pour le temps qu’elle passait avec moi, il l’avait beaucoup moins que moi.
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