Susan Krinard

Aujourd'hui, l'un de mes péchés mignons: les nocturnes de chez Harlequin, et plus précisément L'esclave du vampire, que j'ai bien aimé.



Trinity est une dhampir, moitié humaine moitié vampire, qui est envoyée infiltrer la société vampire. Elle se fait passer pour une humaine pour éviter les problèmes, car son sang étant une drogue pour les vampires elles risquerait gros. Les humains cependant n'ont qu'un seul statut possible à Erebus: esclave. La voilà donc dans le troupeau de "criminels" envoyé en pâture aux vampires, et c'est Arès qui, la voyant, décide de l'acheter aux détriments de Palémon.



J'aime bien Arès, il est sûr de lui et surtout, malgré une puissance indéniable, il cherche à comprendre l'humanité et non l'asservir dans son intégralité. J'adore le fait qu'il soit considéré comme un marginal, et qu'il l'assume pleinement. L'auteur d'ailleurs donne un indice sur les raisons de cette marginalité, en effet Arès utilise des jurons "oubliés de tous sauf de lui" et se souvient de lois vampires vieilles comme le monde. Pire, il ressentirait des émotions humaines, se dont les autres se targuent d'être dépourvus. J'ai trouvé dommage qu'on en sache pas plus sur lui car c'est un personnage très intéressant et la piste émise par certains Opirs (les vampires) aurait peut-être méritée un peu plus de développement. Et on ne sait toujours pas pourquoi il ne faut pas toucher un vampire! Un personnage sous-exploité donc, mais impressionnant tout de même. Trinity quant à elle est un peu étrange, je trouve. C'est une soldat, comme la quasi-totalité des dhampires dans la société humaine. Elle est cependant censée avoir étudier la société des Opirs mais ne cesse de commettre des impairs, tel un éléphant dans un magasin de porcelaine (sisi!). Rien d'exceptionnel chez elle, mais au moins elle n'est pas puérile et/ou stupide. Il me semble qu'elle ne se démarque pas tellement, ni en bien ni en mal, et ce malgré un courage que l'auteur à voulu proche de l'inconscience.



L'histoire est sympa, mais l'intrigue est reléguée au second plan jusqu'à ce qu'Arès cède à Trinity. Étrange comme façon de faire, mais loin d'être la pire, car tandis que nous savourons l'évolution de la relations entre nos deux protagonistes, le piège de l'intrigue se ferme peu à peu sur eux. Et pour le coup, Arès se fait bien avoir, amusant pour un vampire qui malgré la bonté dont il fait preuve (et qu'il nie farouchement), reste un peu trop sûr de lui-même. La fin cependant m'a laissé sur ma faim, et nos héros auraient mérités quelques lignes de plus car l'histoire se termine à la résolution des plus gros de leurs problèmes, et encore disons quand les grosses lignes de cette résolution sont tracées. En bref un petit épilogue n'aurait vraiment pas été de refus.



Enfin, il s'agit du second livre de Susan Krinard dans ce monde, littéralement. le premier est La soif du vampire, paru avant celui-ci. Je n'ai pas souhaité le critiquer pour l'instant car L'esclave du vampire m'a fait plus forte impression, et aucun lien n'est clairement fait entre les deux livres (on fait référence dans ce tome à des colonies, colonies qui n'existent pas au début du tome précédent). Il est intéressant de lire ce tome après La soif du vampire, mais ce n'est pas obligatoire à sa compréhension.



En bref, une histoire sympathique mais malheureusement pas assez creusée. Un bon petit livre de plage sans prise de tête donc!


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Ce recueil de nouvelles avaient le mérite de faire connaitre trois auteurs différents mais aussi de nous conter 3 histoires diverses mais toutes flirtant avec le surnaturel.

Je suis ressorti de ma lecture à la fois ravi et déçu.

Ravi car une des nouvelle m'a vraiment plut et déçu car sur les 3 une seule m'a transporté et ce fut hélas la plus courte.....



Alors la première de Susan Krinard "Le baiser du loup garou",n'a pas été une histoire passionnante à mes yeux, certes une petite intrigue policière s'était glissée dans ce récit cependant cela ne m'a pas convaincu. Les personnages étaient tous plus ou moins froid, je ne me suis donc pas attachée à eux, le récit étant de plus court. Dommage.



La deuxième de Tanith Lee "L'étreinte de l'ombre" fut plus intéressante car intrigante. Histoire mêlant suspens, machination et surnaturel. Les personnage étant un peu plus simpatiques que la précédente histoire j'ai suivi cette nouvelle avec attention, cependant fin trop convenu.



La dernière est je ne le cache pas ma préférée. "La nuit du Démon" de Evelyn Vaughn parle de sorcellerie avec beaucoup d'humour. Les dialogues et attitudes des personnages prêtent souvent à sourire, la fin également inattendu et drôle, "le tel est pris qui croyait prendre" est appliqué ici, celles et ceux qui le liront comprendront.



Recueil avec des hauts et des bas mais je reste sur le dernier récit m'ayant fait passer un bon moment, dommage qu'il n'est pas été plus long.

Bon. En achetant ce livre, je savais que ça n'allait pas me transporter bien loin. J'avais raison. Mais ce qui m'a le plus déçu, c'est qu'il y avait de la matière pour que l'auteur rende l'histoire sympa. Mais non, ne complexifions pas un roman Harlequin.

Le romanest de type épique. L'histoire est travaillée, profonde. Mais elle ne m'a pas envoûtée. Trop de stéréotypes : des dieux par milliers, les élus des dieux, le grand méchant qui veut détruire le monde, ses sbires qui sont des prêtres maléfiques vêtu de rouge qui portent des pierres rouges (SYMBOLE : rouge=démon=maaaal), l'écolo power qui veut vaincre la mécanisation et le paganisme...



L'histoire est trop prévisible, je n'ai eu que quelques surprises et elles ne concernaient pas les points clés de l'histoire.

Je sais que c'est typique d'un roman épique et ça ne me gêne pas lorsque c'est juste la toile de fond, pas le roman dans son ensemble.

La présence constante des « dieux » était un peu gênante. D'un côté, ça nourrit l'univers mais d'un autre côté, c'est un peu le WTF : dès qu'un problème survient, c'est bon, pas de soucis les dieux sont là pour sauver les héros. L'idée d'un destin immuable et tracé par les « dieux » est très présente également ce qui renforce l'idée d'un roman linéaire et prévisible.



Univers : L'univers du livre est travaillé et plausible. Ce qui m'a terriblement manqué c'est une carte au début du livre afin de s'imaginer plus facilement les lieux décrit.



Style littéraire : L'auteur ponctue ses longues descriptions du paysage avec de belles phrases de temps en temps. Le style est assez lourd et m'a donné une impression constante de pesanteur durant toute ma lecture. J'ignore si c'est la volonté de l'auteur afin de coller avec l'univers du livre et le tragique de l'histoire mais ça m'a assez éprouvé. Je n'avais qu'une envie après avoir passé les 80 premières pages, c'était finir ce livre et au plus vite, avoir la fin et fermer ce livre.



Personnage : Peut-être est-ce dû au caractère épique du livre, je ne le pense pas vraiment, mais les personnages sont stéréotypés à l’extrême. On a la guerrière féminine (OK, c'est une amazone, passons), la chamane surpuissante, le guerrier macho-man qui ne veut pas faire équipe et un homme-panthère (sexy et seul personnage/mythologie vraiment originale).

Les personnages secondaires sont assez vide (notamment la résistance) aussitôt lu aussitôt effacés de la mémoire.



En bref : La première partie de l'histoire m'a bien emballée puis mon intérêt est vite retombé vers le milieu du livre à tel point que j'ai presque lâché le livre (fait très, très rare). Quelques coquilles de traduction, et sous-entendus obscures ne facilite pas l'adhésion à ce livre. La fin reste ouverte et prépare le tome 2 que je ne lirai pas.
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Malheureusement, les 4 premiers chapitres du livre ont eu raison de ma patience. Je n'apprécie pas le style d'écriture, tout se porte uniquement sur le désir du héros, les phrases se répètent en différents termes pour écrire la même chose, ce récit va être ennuyeux au possible. J'abandonne.

Merci à Harlequin pour ce service presse.



Nous voila dans une histoire de Bit-lit teinté de référence mystiques qui nous dévoile une ville où les humains vivent en harmonie avec les vampires. Comment en sont-ils arrivés à cela ? Est-ce réellement la ville et la vie rêvé ? Que cache t-elle réellement? Voila les questions que nous nous posons dès le début.



C’est une ville est en apparence idéale, ou règne la tolérance, la communication et la joie de vivre entre deux peuples que pourtant tout oppose, le fonctionnement est simple mais efficace et la politique plutôt juste, mais il faut avouer que l’aura des Anciens qui ne sont autres que d’anciens dieux apporte immédiatement un sentiment d’interrogation et de suspicion, comment des être si forts et si beaux peuvent -ils se contenter réellement que de cette vie? Ce sentiment est vite renforcé par quelques attitudes ou paroles à la dérobée alors on ne peut que s’imprégner de Daniel pour mener l’enquête avec lui.



C’est un homme imposant, courageux et droit qui hait profondément l’esclavage, on comprend très vite qu’il a été marqué et blessé dans son passé, sa soif d’un monde meilleur est communicative tout comme sa méfiance, il garde également un certain mystère sur lui et ses origines ce qui le rend intrigant, mais c’est surtout son attirance pour la belle Isis qui nous captive et nous fascine, c’est tellement beau et pur que s’en en deviendrai presque idyllique.



Isis est une vampires sublime qui dégage un charme naturel fou et envoûtant, c’est aussi une femme solide, courageuse et optimiste, on ressent sa douceur, sa sérénité et son altruisme avec force mais on comprend également qu’il lui manque un élément pour être totalement heureuse et épanouie.



Ce récit nous montre l’évolution d’une ville aux apparences trompeuses, où les secrets, les mensonges et la suprématie restent de mise, il n’y a pas de personne ou peuple foncièrement bon, chacun à ses atouts et ses défauts et c’est en cheminant ainsi qu’on découvre la vérité. S’en suis alors un besoin presque viscéral de sortir de ce chaos proche, l’envie de protéger et d’apaiser, mais est-ce seulement possible? Cette vie rêver est elle vraiment réalisable?



Le message de cette histoire est très fort et perpétuellement remis en cause par des événements ou actions, pourtant on y croit coûte que coûte, on espère et on mise tout sur le duo Daniel/Isis qui sont semble -t-il les « sauveurs ». Les barrières tombent, l’entraide apparaît et le côté mythique qu’apporte les anciens dieux confère une aura de puissance au récit qui nous fascine très vite, cependant il m’a manqué ce petit truc en plus pour être totalement envoûtée, est-ce les événements qui manquent d’un peu plus d’action ou les sentiments de notre duo pas assez mis en avant, je ne sais pas, mais cela reste tout de même une histoire intense qui fait rêver autant qu’espérer.
Lien : https://lmedml.com/2017/05/2..

Si j’aime la collection Black Rose chez Harlequin, la collection Nocturne est également remplie d’histoires qui me font frissonner de plaisir …



Garret est un homme blessé, sa femme a été tuée, et comme si cela ne suffisait pas, son fils a été kidnappé il y a plusieurs semaines.



Timon, le fils de Garret, à une particularité, en effet sa maman était une vampire alors que Garret, lui, est humain. Nous apprendrons au fil des pages, que c’est justement cette différence qui fait qu’il a été kidnappé.



Lors de ses recherches pour retrouver son fils, Garret va tomber sur un petit groupe d’humains ayant capturé une vampire. Il sait que celle-ci pourra l’aider dans ses recherches. C’est une femme magnifique qui lui rappelle sa femme décédée. Il va donc la libérer sans trop savoir si au final elle acceptera de l’aider, mais malgré tout, il est prêt à prendre ce risque, pour Timon.



Vous l’aurez compris, elle va accepter le deal, même si au départ elle n’est pas trop d’accord. Mais assez rapidement, un lien spécial va se tisser entre eux. Et si en plus de l’aider à retrouverez son fils, cette femme était celle qui remplissait le vide que la perte de sa femme a créé en lui ?



Une aventure qui ne sera pas de tout repos pour eux, mais non plus pour le lecteur. L’auteur donne un rythme soutenu à l’action et aux rebondissements en tout genre. On va jusqu’à explorer le passé des personnages, ce qui donnent encore plus de puissance à leurs actes et leur émotions.



Une bien jolie histoire que je vous recommande sans hésiter 👍

un de mes préféré je le recommande

Dans ce roman, on va faire la connaissance de Trinity. Cette jeune femme est une dhampir (mi-humaine, mi-vampire), et elle fait partie de la résistance. Elle souhaite se faire acheter par un Opir (vampire) de haut-rang afin d’infiltrer la citadelle. Et c’Est-ce qu’elle va trouver en Arès. Je suis tout de suite entrée dans l’histoire. C’est fluide et visuel. Le livre est assez court, et il se lit vite. On a envie d’en savoir plus sur la résistance. Arès est un maître vampire, diffèrent des autres, il est bon avec ses esclaves. Et évidemment, il va se passer quelque chose entre lui et Trinity. Mais pas seulement. Ici, il y a aussi, des jeux de pouvoir, des défis avec les autres Opirs, notamment Palémon. J’ai bien aimé le personnage de Arès. Sa façon d’être avec ses esclaves, mais aussi sa réserve au début avec Trinity. Et puis c’est aussi la société qui est comme ça à Erebus. En bref, j’ai bien aimé cette lecture. Je me suis surprise à tourner les pages très rapidement. C’est assez addictif comme lecture. Par contre, j’aurais aimé en savoir plus sur la mythologique vampirique. Un bon livre sur les vampires, avec aussi une intrigue à côté. Maître vampire, dhampir, politique, pour un roman très sympa ! C’est le premier que je lis dans la collection Nocturne, aucun doute que j’en lirai d’autres !

Phoenix, est une des agents d’Aegis, Drakon, un vampire d’Erebus. Tout deux vivent dans un monde apocalyptique ou règne la peur, la privation, la pauvreté, les meurtres…



Ils sont ennemis et ont en point commun, une mission visant à neutraliser le camp adverse.



Elle est déterminée à prouver son courage et sa valeur, lui ne se voit que comme un monstre chargé d’accomplir son devoir.



Infiltrés dans le même lieu, ils vont se rencontrer et immédiatement s’attirer. Mais cela n’est que pour leur mission respective…Enfin c’est ce dont ils se perçoivent.



Nous sommes plongés dans une intrigue profonde qui va nous tenir en haleine jusqu’à la dernière ligne. Les nombreux rebondissements que nous fait vivre l’auteur, ne font qu’accentuer un peu plus ce besoin de déchiffrer enfin tout cela.



Chaque personnage à un rôle important et nous délivre une palette d’émotions. Nous ressentons donc la bravoure, la vengeance, la haine, le renoncement, ce désir et enfin l’amour. C’est très intéressant car cela donne un coté envoutant à l’histoire. Pouvoir ressentir les sentiments et avoir le point de vue des personnages clefs, permet également de mieux comprendre et analyser l’intrigue.



Phoenix nous apparait tellement forte et fragile à la fois, qu’on ne peut que s’identifier à elle et ainsi la comprendre voir même envier se désir et cet amour naissant qu’elle éprouve pour lui.



Drakon, lui dégage une certaine assurance, mais à travers les mots de l’auteur, on ressent bien sa fragilité également, ce qui le rend attachant et nous donne ainsi ce besoin de soutenir ce couple qui affronte les obstacles les uns après les autres.



Il est aussi très intéressant de constater que l’intrigue se base essentiellement sur le mensonge et les trahisons. Cela donne un coté chevaleresque aux deux personnages principaux. Sauver le monde, s’en sortir indemne, voila ce que nous voyons à travers eux.



En conclusion, c’est un très bon récit, captivant, dur et beau à la fois, qui nous plonge dans un monde qui n’est pas le notre.
Lien : http://chroniqueslivres.cana..

Second livre lu de cette auteure et toujours enjoué par mes lectures. Ce tome reprend l’univers du livre : L’esclave du vampire. On y retrouve la même structure de ville et de caste, les Opirs, les humains et les Dampirs. Dans ce tome, Phoenix est une jeune femme dont le père était un illustre Dampir. Elle est à un quart de sang Dampir et pour le reste humaine. Elle développe certaines capacités qui peuvent passer invisible aux yeux des vampires. C’est pourquoi, elle est choisie par l’agence Aegis afin de mener à bien une mission de la Frange. Elle est sauvée in-extremis par Drakon un maître Opir. (suite sur le blog)
Lien : http://lune-et-plume.fr/la-l..

Petite lecture de vacances qui m’a permis de passer un excellent moment. Je ne connaissais pas du tout cette auteure et je suis ravie de lui avoir donnée sa chance. Et je compte bien mettre la main sur ses anciens livres parus chez Harlequin.



Trinity est une jeune femme Dampyr : mi humaine mi vampire. Elle fait partie des rebelles qui cherchent à libérer les esclaves des Opirs : Maîtres vampires. Elle se fait passer pour l’une de ces esclaves afin d’infiltrer la maison d’un seigneur Opir et se renseigner sur les agissements des rebelles et de leur plan d’action. Enchaînée et vendue comme esclave, elle fait monter les enchères entre les Opirs qui se battent pour elle. En plus d’être séduisante, il semblerait que sa vivacité d’esprit affolent les sens des vampires. Et c’est Arès, le plus ancien des Opirs qui gagne l’enchère. Trinity rejoindra sa maisonnée pour son plus grand plaisir.



L’histoire est vraiment addictive car entre complots dans la maison vampirique et chasse aux rebelles, je n’ai pas eu une once de répit dans ma lecture. L’intrigue est si bien ficelée que le dénouement se dévoile dans les dernières pages du livre. Elle m’a tenu en haleine et m’a parfois induite en erreur. J’ai adoré ce côté de rébellion esclaves-maîtres mais aussi le respect et l’amitié qui en découle. Les méchants ne sont pas souvent ceux que l’on croit être.



La romance est bien présente tout au long du roman. Trinity est dès le premier regard attirée par Arès. Elle n’a qu’une envie se faire mordre par son seigneur. Arès est quant à lui sur la défensive car Trinity a beaucoup d’ascendant sur lui et craint pour sa vie. L’atmosphère du livre est empli de sensualité et d’érotisme.



Ce que je regrette dans ce livre ? Le manque de détail sur la mythologie et l’origine des Opirs, des Libres, des vassaux et des esclaves. L’auteure l’a décrit brièvement. On sent que des passages ont été coupés lors de la traduction, ce qui créé un vide dans toute cette mythologie. Dommage. Il m’a manqué aussi, un peu de déclaration d’amour et de sentiments révélés.
Lien : http://lune-et-plume.fr/lesc..