À vrai dire, vers dix-huit, vingt ans, comme j'étais jolie et plutôt aisée financièrement, j'avais une ribambelle de soupirants autour de moi. Mais dès qu'ils s'apercevaient que je savais m'exprimer, dès que je leur ouvrais mon cœur avec les pensées qui s'y agitaient, le vide se faisait autour de moi.