L’homme maîtrisait parfaitement l’art de manipuler le beau sexe, ce qui lui était rudement utile pour son « métier » de proxénète. Il l’avait vue dès qu’il était entré dans l’établissement et s’était promis d’en faire sa maîtresse dans un délai d’une semaine. Le filou y parvint en trois soirs et, après l’avoir conquise et prise, il ne l’abandonna pas. Au contraire, il sut se rendre irrésistible aux beaux yeux de la jolie serveuse.