Sylvain se félicitait souvent de ne jamais être tombé dans le piège du mariage et n’hésitait pas à le faire savoir. Quel intérêt ? pensait-il. Pas besoin de réciter des mots vides de sens devant un prêtre ou un maire pour être heureux en couple. Pour lui, cette coutume moyenâgeuse n’avait plus de raison d'être à une époque où le nombre des divorces augmentait exponentiellement.