D'ailleurs il y a dans ce panorama une atmosphère de détresse générale, d'insondable souffrance. Comme si les grèves abandonnées pouvaient exprimer un sentiment. Un souffle d'immense peine exhalé par le chaos. Un hurlement silencieux, montant du chaudron vidé. C'est la terre qui gémit de son sort. Et c'est l'oeil qui écoute la lamentation tectonique.