Le lendemain matin, Ouroz, Bucéphale et Boris sont lâchés, libres, dans les champs de la ferme. Libres de galoper et de se rouler sur la terre abîmée. Hébétés d'épuisement, de nervosité et de peine, nous les quittons dans l'aube sinistre. Dernières caresses. Quelques mots lâchés doucement à l'oreille d'Ouroz pour qu'il prenne soin à l'avenir de son troupeau, pour qu'il protège Boris et Bucéphale et les mène toujours aux meilleures pâtures.