Non, il a dit, j’attends quelqu’un. Et à nouveau on était là, entre deux phrases pas naturelles, un œil pour l’attente et l’autre pour le verger qui descendait vers l’eau………Alors peut-être parce qu’on ne savait pas ou regarder l’un comme l’autre peut-être parce que je n’osais pas remettre la tondeuse en marche et puis parce que dans ces instants –là, on cherche ce qui autour de nous pourrait accrocher nos pensées comme à un portemanteau, en tout cas il a relancé la conversation (Page 29)