« […] comme si, écarté le regard de son père, elle s’était à nouveau barricadée derrière la fatalité, celle d’une jeune fille qui n’était pas née pour prendre des décisions et se laissait faire depuis longtemps par ceux qui savent en prendre – elle si clairvoyante en même temps, si capable de sonder toute la situation, effarée elle-même peut-être par la stérilité de sa propre intelligence. (p.119)