J’essaie de me maîtriser, mais le seul fait de repenser à mes actes m’excite, bien que j’aie de moins en moins de plaisir à jouir. Pourquoi ?
Ce que je préfère, et je n’ai pas honte de l’écrire, c’est de savoir que je peux décider de donner la mort quand je le désire.