Un adversaire mort ne sert à rien. Il ignore qu’il a perdu. Un vrai vainqueur a besoin d’un adversaire vaincu et qui le sait. On ne goûte pas de triomphe au-dessus d’un cadavre, mais un adversaire déconfit et qui le demeure chacun des jours restants de son existence triste et misérable prend une valeur inestimable