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Citations de Terry Torben (22)


et de petites économies pour l'achat d'une Rolex, avant cinquante ans si possible, histoire de ne pas rater complétement sa vie.
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Il se dit que c'était peut-être çà la mort : devenir étranger à soi-même.
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Une mosaïque d'instants pour ses derniers instants, le sentiment net d'une vie qui partait en lambeaux.
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Boire de l’eau devait presque se faire au pas de course ! Parce que s’il fallait en plus s’arrêter toutes les deux minutes pour boire ou pisser, alors là on n’allait pas s’en sortir… Une telle idiotie faisait râler sa mère, elle était patiente seulement elle avait ses limites, mais autant dire qu’elle aurait pu même hurler que ça n’aurait rien changé à l’ordre des choses établi par le patriarche.
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...s’il y avait un truc encore plus pourri dans ce merdique enfer, c’était bien l’union de deux de ces êtres plus ou moins charnus, plus ou moins mâles ou femelles, empêtrés dans des sentiments que seuls les plus sombres crétins de l’espèce oseraient encore appeler amour.
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Serait-il possible que des créatures inventées de toutes pièces, ces espèces de marionnettes de voyelles et de consonnes surgies de sa plume aient une vie propre ?
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emportant la vie dans de terribles volutes, toutes sculptées par les silences
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Cette phrase, c'était juste ses pas impatients qui l'imprimait, lettre par lettre, sur le bitume.
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Parce que, s'il fallait en plus, s'arrêter toutes les 2 minutes pour boire ou pisser, alors là, on n'allait pas s'en sortir.
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Son désir était de la protéger !
De sa famille... de son Karma !
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Premier marché... Second marché... Du coup, plus rien ne marchait.
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Chacun à sa place, avec ses propres responsabilités, et le monde tournerait plus juste.
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Depuis l’enfance elle avait été un peu trop rêveuse, un peu trop romantique, un brin naïve aussi et franchement, avec tout ça bien secoué dans une seule tête, le cocktail final ne pouvait finir qu’en catastrophes.
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Elle n’avait pourtant pas encore 25 ans, même pas un quart de siècle, et tout à coup l’avenir lui faisait peur, elle ne voulait plus de tout ça, ça faisait mal tout le temps, ça salissait tout sur son passage, à chaque fois ça laissait derrière des tâches indélébiles dans le cœur, impossible de les enlever ; une fois morte, lors de son autopsie, les toubibs, eux, comprendraient ce qu’elle avait vécu. Eux seuls mesureraient la puissance de sa douleur. Une fois qu’ils auraient fini d’arracher son cœur épuisé de sa carcasse ça leur sauterait aux yeux tout de suite, car ses blessures seraient tatouées dedans, c’était certain, elle avait senti chaque fois les aiguilles entrer, injecter leur encre pourrie puis ressortir. Lorsqu’ils tripoteraient cette chose inerte entre leurs mains, ils seraient peut-être même tristes d’y voir dedans des histoires pareilles. Peut-être même détourneront ils les yeux pour ne pas les voir. Peut-être…
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Le malheur, ça commence toujours par un petit truc idiot, Arno comprenait ça tout à coup, avant une tempête tout est calme, on se sent heureux, puis le temps d’un coup de vent,hop,la rafale passée tout est abimé. Définitivement abimé.
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Emrys avait un peu de mal à se faire à ce nouveau monde où les valeurs financières passaient en force et sans aucun scrupule avant la valeur humaine.
Il la voyait marmonner des choses, impossible de savoir quoi exactement, il s'agissait de courtes syllabes, inaudibles, même pour lui, certainement des fins de phrases qu'elle avait commencées dans sa tête, des émotions qui craquaient peut-être, qui se détachaient comme ça, en autant de morceaux brisés mais toujours vifs, puis qui partaient à la dérive, loin, plus loin, pour s'échouer enfin sur ses lèvres avant de se fondre dans le vent.
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Difficile de dire si en cet instant, lorsqu'il tourna le dos à cet odieux miroir qui réfléchissait si mal, on pouvait déjà parler de négligence, ou tout au moins d'une sous-estimation malheureuse concernant un danger potentiel, mais le fait était que Jean-Edouard, aussitôt éloigné de son reflet, décida d'attendre encore un peu pour consulter.
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Mais les regrets ne servaient à rien. Sonia pourrait se passer le film de ce drame des millions de fois dans sa petite tête, s’inventer des milliards de mondes dans lesquels une telle chose ne serait jamais arrivée, cela ne servirait à rien, les choses écrites ne changeaient jamais.
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Il fallait dire qu’Arno semblait tellement différent. Tellement porteur d’espoir. A priori rien à voir avec ce qu’elle avait vécu jusque-là. Pas tordu. Pas de zone d'ombre dans ses emplois du temps. Sensible. Intelligent. Ça faisait beaucoup pour un seul homme, elle commençait à penser que ça ne pouvait pas exister, peut-être s’était-elle bercée d’illusions après tout, naïve comme elle était, elle aurait pris le premier imbécile venu pour le prince charmant.
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Et puis les femmes, tout bien réfléchi, il pourrait quand même bien passer de temps en temps dans leurs vies, où dans leurs nuits, puis repartir le jour d’après.
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