Le nom d'Hokousaï n'avait depuis transpiré qu'auprès de rares chercheurs, tout au plus quelques volumes de ses oeuvres et des artistes ses contemporains, avaient-ils été vus et achetés à Paris. Nous étions donc partis d'Europe sans rien connaître de l'art japonais alors caché et nous n'avions aucune idée des objets auquels il s'était appliqué.