Courbet a été considéré de son vivant comme un rustre, l'oeil fermé aux délicatesses de la nature. Et quand est venue son exposition posthume à l'École des beaux-Arts, c'est avec surprise que le public a reconnu qu'à la force se joignaient, dans son oeuvre, une finesse de tons que l'oeil le plus subtil et le plus velouté avait seul pu saisir.