Précision : c’est pas parce qu’on est mort qu’on acquiert automatiquement des talents d’écrivain. À lire la scène comme je la revois, on pourrait presque croire que j’opère un rapprochement douteux entre le meurtre de Cantat et la gifle de Théo.
C’est tout sauf ce que je veux faire, que ce soit bien clair.
Cette gifle n’avait rien de drôle, et pas seulement parce que Théo n’avait pas de quoi en être fier. Bien sûr qu’il n’en était pas fier, il en avait honte, terriblement honte. Mais l’autre truc pas drôle, c’était ce qu’il y avait dessous ; cette façon que j’avais eue de provoquer sa rage, son affolement. Sa peur, aussi.