La voix était douce, mais ophidienne aussi, comme celle d’un népenthès. Il regarda dans l’eau et vit une femme que Seule Didon et Hélène (et certainement Grand-mère Aphrodite) surpassaient en beauté. Des robes auraient fait affront à son visage et à ses formes sans défaut. Les cheveux d’ambre qui nimbaient sa tête semblaient dérobés au soleil. Non, elle n’appartenait pas au soleil. Elle appartenait aux mondes souterrains, volcaniques : brillante, mais étrangement froide.