Mais Mehdi n'a pas le temps de s'étonner qu'ils soient si peu nombreux dans le grand atelier, pas le temps d'en demander la raison à Romulad.la Miranda qu'il sait être la sienne pour l'avoir soignée durant tant d'étés gueule déjà. Son ventre est vide. Son alarme stridente, m^me après un automne , un hiver et un printemps loin d'elle, il ne peut pas l'oublier. Le rythme de l'usine le hameconne. Ainsi commence l'été. Mehdi se frotte les mains. Allez."