C’était une de ces nuits pendant lesquelles la tristesse se donne libre cours, quand, chez les personnes impressionnables, l’amour descend au rang de sollicitude, l’espoir devient de la défiance, et la foi rien que de l’espoir ; quand la mémoire n’évoque aucun doux souvenir et que l’avenir semble n’offrir rien de riant.