Ce soir, la brise venue du large est chargée de spectres.
D'autres nuits, le vent marin l'enveloppe doucement comme le souvenir d'un baiser, de cils caressant sa joue, d'une respiration tranquille contre son cou. L'alizé lui rapporte toujours quelque chose. Cari reste dehors, écoutant les grenouilles observées par les milieux des lotus dans la mare.