Ce fameux samedi soir au cours duquel j’ai soufflé vaillamment mes trente-sept bougies m’a soulagée. Je l’ai vécu légèrement, amoureusement, naïvement. Telle une adolescente emplie d’un bonheur certain. Telle une enfant devant son tout premier sapin de Noël. Je me souviens encore précisément de toutes ces heures festives, passées avec tous nos potes à danser, à boire, à chanter faux des airs indémodables.
On va s’aimer, sur une étoile, ou sur un oreiller, au fond d’un train ou dans un vieux grenier. Je veux découvrir ton visage où l’amour est nééééé…