Foutez le camp, vous n'avez rien à faire là : c'est ça le message envoyé. Pas seulement moi. L'espèce humaine toute entière. D'ailleurs, quand on aura fini de s'entretuer, qu'on crèvera de faim, de chaleur ou d'empoisonnement à cause de nos conneries, ce paysage n'aura pas changé d'un iota. Il fera sans doute encore un peu plus sec, mais personne ne sera là pour relever la température ou le niveau de flotte dans un tube.
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