On ne saurait plus comment Philippe essayait de retrouver Juliette dans le lit des autres femmes. Aucune n'avait son odeur, aucune ne savait se cambrer comme elle dans une position en cuillère, aucune ne poussait ce râle de plaisir, discret mais si intense. Il avait cherché à se consoler avec la première venue, puis la deuxième, et à chaque étreinte il s'était imaginé le corps de Juliette pour provoquer l'orgasme de sa partenaire et l'atteindre lui-même, prouvant à sa façon que la simulation n'était pas qu'un apanage féminin.