La rencontre avec l'œuvre de Simenon est à la fois facile et très probable. (…) Mes parents lisaient Simenon en boucle. Je n'y ai donc jamais touché. Par réaction, adolescent, j'étais plus attiré par Jean-Patrick Manchette - pour l'aspect politique -, par Sébastien Japrisot et les polars de Boileau-Narcejac - pour leurs jeux fantasmatiques avec l'identité. Simenon représentait une réalité sociale française qui ne m'attirait pas.