Il aurait même espéré de temps en temps, surtout quand il se sent las au coucher, demeurer loin de lui-même. Mais il a appris au matin à se réconcilier, à se concentrer pour se tenir auprès de sa propre substance comme de l'âtre dont le feu faiblit, rougeoie, s'éteint, sur quoi il souffle et dont il ranime toujours la flamme avant le jour.