Au soleil couchant, le son du violoncelle est monté derrière la cloison. Les ombres s’allongeaient démesurément. La lune s’est levée. La nuit est tombée par la fenêtre. Et lorsque tout s’est tu, il est resté en moi l’écho d’un chant, le frisson d’une caresse, le rêve d’un baiser.