« Vos paroles ressemblent à celles d’un homme qui a perdu la foi, dit-elle.
— Non, maîtresse, ce sont les paroles d’un homme qui a bien connu la misère humaine. On la trouve
partout, tant parmi le peuple que dans l’aristocratie, le clergé et les rois. Personne n’en est à l’abri, pas
même nous qui en parlons… La conscience de notre imperfection préserve notre foi, car que ferions-nous
sans Dieu, quel serait le but de notre vie ? »