Une femme, Rolando avait une femme...
Caterina replia lentement le parchemin et le remit là où elle l'avait trouvé.
Sans quitter le coffre des yeux, elle recula jusqu'à rencontrer le mur. Adossée à la paroi, elle laissa retomba ses bras, inspira profondément.
Un calme étrange l'envahit. Elle observa la table, le lit, les chausses boueuses, la carafe, comme si elle les voyait pour la première fois. Soudain, tous ces objets lui semblèrent étrangers, inconnus.
Comme l'homme à qui ils appartenaient.