Le corps change, le postérieur des filles s’arrondit – sauf chez les Victoire et assimilées, qui ne prennent de formes que le strict nécessaire. Les seins poussent, pas toujours les deux en même temps. Les garçons se sentent investis d’un pouvoir sans limite. Ils sont plus petits, mais plus forts et mieux organisés. Ils savent repérer les fragiles, les blessées, les timides. Leurs hormones se mettent à hurler et le bruit qu’elles font couvre les plaintes des filles.