Depuis que j’ai lu les livres interdits, ceux qui étalent sa collection de maîtresses et détaillent ses voyages à Manille, quelque chose de visqueux et sordide est venu recouvrir chacun de ces moments d’intimité dans lesquels je ne parviens plus à voir la moindre trace d’amour. Je me sens avilie, et plus seule que jamais.