Je suis entré dans leur masure. Je leur ai parlé comme je vous parle. Mon impression ? Un mélange de préhistoire et de Russie d’avant Pierre le Grand ! Ils font du feu au silex… Ils s’éclairent avec des mèches de bois… Nu-pieds l’été, chaussés d’écorces de bouleau l’hiver. Pas de sel, pas de pain. Ils n’ont rien perdu de la langue, mais on a du mal à comprendre les cadets…