- Un jour, reprend-il, si tu veux toujours de moi, on pourra...
Il s'arrête pour s'éclaircir la voix.
- On pourra....
J'ébauche un petit sourire et je referme mes bras autour de lui sans le laisser finir, la joue sur sa poitrine. Je sens son coeur qui bat, aussi vite que le mien.
- Tu as peur de moi, Tobias ?
- Je suis terrifié, répond-il avec un sourire.
J'embrasse le creux à la base de son cou.
-Peut-être que tu ne vas plus être dans mon paysage des peurs, chuchoté-je.
Il penche la tête et m'embrasse lentement.
- Alors on pourra t'appeler Six.
- Quatre et Six.