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Citations de Veronica Roth (1571)


-J'ai un truc à te dire, me chuchote-t-il.
Je fais courir les doigts sur les tendons de sa main et je le regarde.
-Je suis peut-être bien amoureux de toi.(il a un petit sourire.) Mais bon, j'attends d'être sûr pour te l'annoncer...
-Ça me paraît raisonnable, approuvé-je en souriant à mon tour. Il te faudrait un papier pour lister les pour et les contre, un truc comme ça.
Je sens le rire secouer sa cage thoracique. Son nez glisse le long de ma mâchoire, ses lèvres se pressent derrière mon oreille.
-Peut-être bien que je suis déjà sûr et que je veux juste éviter de te faire peur.
J'ai un petit rire.
-C'est que tu me connais mal.
-Très bien. Alors, je t'aime.
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Les gens avides de pouvoir et qui finissent par l'obtenir vivent dans la terreur de le perdre. Et c'est pour cette raison qu'il ne faut en donner qu'à ceux qui ne le désirent pas.
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"Je crois aux actes de courage ordinaire, au courage qui pousse une personne à prendre la défense d'une autre." C'est une belle pensée.
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La politesse, ce n'est que de la fausseté dans un papier cadeau.
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- Je t'aime.
Je l'ai dit une fois, avant de me rendre au siège des Érudits, mais il dormait, alors. Je ne sais pas pourquoi je ne lui ai jamais dit à un moment où il pouvait l'entendre. J'avais peut-être peur de lui confier une chose aussi personnelle que mon attachement. Ou de ne pas savoir ce que c'était d'aimer quelqu'un. Maintenant, je crois que le plus effrayant est d'avoir failli ne pas le dire avant qu'il ne soit trop tard. Avant qu'il ne soit trop tard pour moi.
Je lui appartient et il m'appartient, et c'est comme ça depuis le début.
Il me dévisage. J'attends sa réponse en m'aggrippant à ses mains pour me soutenir.
Il fronce les sourcils.
- Répète-moi ça.
- Tobias, je t'aime.
Sa peau mouillée glisse et il sent la sueur ; le tissu de ma chemise adhère à ses bras quand il les replie autour de moi. Il enfouit son visage dans mon cou et m'embrasse juste au dessus de la clavicule, puis sur la joue, puis sur la bouche.
- Moi aussi, je t'aime.
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Je pose une main sur la sienne et je la guide jusqu'à mon coeur.
- Tu sens mon coeur qui bat ?
- Oui.
- Tu sens comme il est régulier ?
- Il est rapide.
- Ouais. Peut-être, mais ça n'a aucun rapport avec la boîte.
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- Tu sais que la plupart des garçons se réjouiraient d'être enfermés avec une fille dans un endroit aussi restreint ?
Crétine. Je lève les yeux au ciel.
- Sauf les claustrophobes, Tris.
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Depuis tout petit, je sais une chose : que la vie nous abîme, tous. On n'y échappe pas.
Mais je suis en train d'en découvrir une autre : qu'on peut se réparer. On se répare les uns les autres.
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Quelques fois, rire et pleurer sont les seules options qui restent, et, je ne sais pas pourquoi, à cet instant, rire ma paraît plus adapté.
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Je crois qu’on a commis une erreur, déclare-il doucement. On s’est tous mis à dénigrer les valeurs des autres factions sous prétexte de mettre les nôtres en avant. Je n’ai pas envie de faire ça. Ce que je veux, c’est être courageux, et altruiste, et intelligent, et gentil, et sincère.
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Parfois, le courage, c'est juste de serrer les dents contre la souffrance, et de s'efforcer d'avancer au jour le jour, lentement, vers une vie meilleure.
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J’ai découvert que les gens sont constitués de multiples couches de secrets. On croit les connaître, les comprendre, mais leurs motivations nous restent toujours cachées, enfouies au fond de leur cœur. On ne peut jamais savoir qui ils sont vraiment. Mais on peut parfois décider de leur faire confiance
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- Mais ... Tobias ... tu es plus vieux que moi.
Il me sourit.
- C'est vrai que ce fossé de deux ans est totalement insurmontable.
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- Euh... ça va, ton nez ?
- Très bien. Je trouve que le bleu fait ressortir mes yeux, pas toi ?
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Quand elle a heurté le filet, je n'ai vu qu'un tache grise.
Je l'ai tirée pour l'aider à descendre et sa main était menue main tiède, et puis elle s'est redressée, petite et mince et ordinaire et absolument sans rien de remarquable-mais elle avait sauté la première. La Pète-sec avait sauté la première.
Même moi, je n'avait pas sauté le premier.
Son regard était sérieux,insistant.
Magnifique.
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Il m'effleure la joue, et sans se soucier qu'on soit au milieu d'une pièce pleine de monde, peuplée de rires et de conversations, il m'embrasse lentement.
- Hé là, Tobias, l'apostrophe mon voisin de gauche. Tu n'as pas grandi chez les Pète-Sec ? Je croyais que le geste le plus osé, chez vous, c'étais... de vous tenir la main, ce genre-là.
- Dans ce cas, tu peux m'expliquer l'existence des enfants Altruistes ? lui demande Tobias en levant les sourcils.
- Ils sont créés par la pure force de la volonté, lance la femme assise sur l'accoudoir du fauteuil. Tu ne savais pas ça, Tobias ?
- Toutes mes excuses, je l'ignorais, réplique Tobias avec un grand sourire.
Ils rient tous. On rit tous.
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La vérité, comme les animaux sauvages, est trop puissante pour rester enfermée dans une cage.
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- Le courage, c'est aussi de savoir reconnaître la supériorité de l'autre, observe Quatre.
- Le courage, c'est de ne jamais se rendre.
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Je n'appartiens ni aux Altruistes ni aux Audacieux, ni même aux Divergents. Je n'appartiens pas au Bureau ni à la ville, ni à la Marge. J'appartiens à ceux que j'aime, et ils m'appartiennent. Ce sont eux, et l'amour et la loyauté que j'ai pour eux, qui me donnent mon identité, bien plus qu'un groupe ne pourra jamais le faire.
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- Écoute, je pensais que j'avais besoin de temps pour savoir si je pouvais te pardonner. Mais ce que je pense maintenant, c'est que tu n'as rien fait qui exige mon pardon, si ce n'est peut-être de m'avoir accusée d'être jalouse de Nita...
Il ouvre la bouche pour intervenir, mais je l'arrête en levant la main :
- Si on reste ensemble, je vais devoir passer mon temps à te pardonner, et si tu restes dans le même état d'esprit, tu devras passer ton temps à me pardonner, toi aussi. Donc le pardon n'est pas vraiment la question. Celle que j'aurais dû me poser, c'est si on peut être bénéfique l'un pour l'autre. (...)
- Et ? me demande-t-il, la voix, le regard et les mains mal assurés.
- Et, dis-je, je crois que tu restes la seule personne à l'esprit assez affuté pour affûter quelqu'un comme moi.
- Ça, c'est clair, commente-t-il d'un ton bourru.
Et je l'embrasse. (...)
Je suis tombée amoureuse de lui. Mais je ne reste pas avec lui par défaut, juste parce qu'il est là et qu'il n'y a personne d'autre. Je reste avec lui parce que je le choisis, chaque matin ou je me réveille, chaque matin où on se dispute, où on se ment, où on se déçoit. Je le choisis chaque jour, et lui aussi me choisit.
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