Jo n’aimait pas tailler, globalement. Une fois tondus, les arbres ressemblaient à ces jeunes garçons sortant de chez le coiffeur, nez saillant et oreilles décollées.
(...) Elle savait cela depuis toujours Jo : les arbres transformaient notre carbone en oxygène et notre routine en bonheur, pour peu qu’on suive certaines règles. Ne pas tailler était l’une d’elles.