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Citations de Vicki Myron (52)


Trouvez votre place. Soyez heureux de ce que vous avez. Traitez tout le monde avec gentillesse. Ayez une bonne vie. Ce ne sont pas les choses matérielles qui comptent, mais l'amour. Et on ne peut jamais prévoir l'amour.
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...on ne peut pas faire le bien de quelqu'un contre son gré. Il faut que la prise de conscience se fasse par le principal intéressé. Un an plus tard, mon amie quitta son mari pour de bon. Elle n'eut besoin de l'aide de personne.
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Les livres ont survécu à la télévision, à la radio, au cinéma parlant, aux premiers magazines, aux premiers journaux, aux spectacles de marionnettes de Punch et Judy et aux pièces de Shakespeare. Ils ont survécu à la Seconde Guerre mondiale, à la guerre de Cent Ans, à la peste noire et à la chute de l'Empire romain. Ils ont même survécu à l'obscur Moyen Age, quand pratiquement personne ne savait lire et que chaque livre devait être copié à la main. Ils ne se laisseront pas assassiner par Internet. Et les bibliothèque non plus. (P. 211)
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L'amour n'est peut-être pas aveugle, mais à coup sûr, il regarde de travers.
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La timidité n'est pas un défaut,c'est un trait de caractère.
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« Pour Dewey, la bibliothèque municipale de Spencer était un univers immense, regorgeant de tiroirs, de placards, d’étagères, de rayonnages, d’élastiques, de machines à écrire, de tables, de chaises, de sacs à dos, de sacs à main et d’innombrables mains pour le caresser, de jambes pour s’y frotter, de bouches pour chanter ses louanges. Et de genoux. La bibliothèque était toujours miséricordieusement, superbement remplie de genoux. »
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« Une bonne bibliothèque n’est pas nécessairement grande ou belle. Elle ‘a pas besoin des meilleurs équipements, du personnel le plus efficace ou du plus grand nombre d’utilisateurs. Une bonne bibliothèque est prévoyante. Elle est impliquée dans la vie de sa ville au point de se rendre indispensable. Une bonne bibliothèque n’est jamais remarquée par personne, simplement parce qu’elle est toujours là, et qu’elle founrit toujours ce dont on a besoin. »
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En entrant dans la bibliothèque, les livres vous sautent encore aux yeux : rayonnage après rayonnage, allée après allée, les livres sont partout. Leurs couvertures sont peut-être plus colorées, leurs images plus expressives et leurs lettres moins rondes, mais ils ressemblent encore à ceux de 1982, de 1962 et de 1942. Et ça ne changera pas. Les livres ont survécu à la télévision, à la radio, au cinéma parlant, aux premiers magazines, aux premiers journaux, aux spectacles de marionnettes de Punch et Judy et autres pièces de Shakespeare. Ils ont survécu à la Seconde Guerre mondiale, à la guerre de Cent Ans, à la peste noire et à la chute de l'Empire romain. Ils ont même survécu à l'obscur Moyen Age, quand pratiquement personne ne savait lire et que chaque livre devait être copié à la main. Ils ne se laisseront pas assassiner par Internet.
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Chaque fois que j'avais eu besoin de lui, Dewey avait toujours été à mes côtés. Il était venu s'asseoir sur mon ordinateur quand j'avais l'impression que la vie allait m'écraser, il avait attendu Jodi à mes côtés sur le canapé. A présent, il ne s'asseyait plus à côté de moi, il grimpait, une patte après l'autre, sur mes genoux pour s'y installer. Il arrêta de marcher à mes côtés et commença à insister pour que je le prenne dans mes bras. Cela peut sembler un détail, mais un détail qui faisait une immense différence pour moi parce que, voyez-vous, je n'avais personne à toucher. Il y avait une distance entre le monde et moi, et je n'avais personne pour me prendre dans ses bras et me dire que tout irait bien. Ce n'était pas juste l'opération. Pendant deux ans, alors que je me tourmentais sur la décision à prendre, que je faisais mon deuil et supportais la douleur physique, Dewey me toucha tous les jours. Il s'asseyait sur moi. Il se pelotonnait dans mes bras. Et quand ce fut terminé, quand enfin je commençai à ressembler à celle que j'étais avant, il se remit à s'asseoir à mes côtés. Personne ne comprit ce que j'avais traversé au cours de ces deux années, personne sauf Dewey. Lui semblait savoir que l'amour était constant, mais qu'on pouvait l'élever à un niveau supérieur quand c'était vraiment important.
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Dewey n'était pas spécial parce qu'il faisait quelque chose d'extraordinaie, mais parce qu'il était extraordinaire. Il était de ces gens apparemment normaux qui, une fois que vous les connaissez, se distinguent de tous les autres. Ce sont ceux qui ne manquent jamais un jour de travail, qui ne se plaignent pas, qui ne demandent jamais plus que leur part. Ce sont ces bibliothécaires, vendeurs de voitures, serveuses, si rares, qui fournissent un service excellent par principe, et vont encore plus loin car ils sont passionnés par leur travail. Ils savent ce pour quoi ils sont faits dans la vie, et ils le font exceptionnellement bien. Certains obtiennent des récompenses ; d'autres gagnent beaucoup d'argent, la plupart passent inaperçus. Ils sont vendeurs, employés de banque, mécaniciens, mères de famille. Le monde a tendance à reconnaître les gens uniques, qui se font entendre, les riches et ceux qui servent leur propre cause, pas ceux qui font des choses ordinaires extraordinairement bien.
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J'en suis arrivée à cette conclusion : quand tout autour de moi était si compliqué, quand les choses partaient dans tant de directions à la fois qu'il semblait parfois que je ne pourrais les retenir toutes, ma relation avec Dewey était si simple et si naturelle qu'elle rendait belle ma vie, malgré tout.
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L'une de mes héroïnes, le Dr Charlene Bell, dit que tout le monde possède une échelle de douleur qui va de zéro à dix. Personne ne décide de changer avant d'avoir atteint dix. Neuf ne suffit pas. A neuf, on a encore peur. Ce n'est qu'à dix qu'on bouge, et quand on y est, on le sait. Et personne ne peut prendre la décision à votre place.
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Tout le monde à la bibliothèque était plein de bonnes intentions, mais au fil des ans, l'équipe s'était divisée et des cliques s'étaient formées. D'accord, rien de concret ne se produisit, personne ne se fit d'excuses ni ne tenta de résoudre les problèmes, mais quand Dewey arrivait, la tension se relâchait. Nous riions, nous étions plus heureux : Dewey nous avait réunis.
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Puis Dewey nous tomba du ciel. Je ne veux pas exagérer son rôle à ce moment-là, car il ne mit de pain sur la table de personne. Il ne créa pas d'emplois. ll n'inversa pas la tendance de notre économie. Mais l'un des pires effets des périodes de récession est leur répercussion sur le moral. Quand les temps sont durs, toute votre énergie disparaît. Les problèmes accaparent vos pensées et ternissent tous les événements de votre vie. De mauvaises nouvelles vous empoisonnent aussi sûrement que du mauvais pain. Au moins, Dewey nous changeait les idées.
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Il y a toujours, sur la terre que Dieu a créée, quelqu'un pour critiquer tout et n'importe quoi, y compris Dieu et sa création.
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Prenez un million de ces kilomètres carrés, assemblez-les et vous obtiendrez l'une des régions agricoles les plus vastes du monde. Les grandes Plaines. Le Grenier à Blé. Le Heartland, le Coeur. Ou, dans l'esprit de nombreux voyageurs, la zone que l'on survole pour aller quelque part. Qu'ils gardent les océans et les montagnes, leurs plages et leurs stations de ski. Je préfère l'Iowa.
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"Un lien particulier se tisse avec l'animal que vous avez sauvé. [...] Les animaux ne connaissent pas l'ingratitude." (p. 113)
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"Ce n'est pas un livre de contes de fées, c'est un recueil d'histoires vraies, qui témoigne de la façon dont les humains vivent avec les chats." (p. 32)

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Le monde a tendance à reconnaître les gens uniques, qui se font entendre, les riches et ceux qui servent leur propre cause, pas ceux qui font des choses ordinaires extraordinairement bien. (p.264)
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Quand les chat ignorent l'existence de quelque chose, il est assez facile de les en tenir éloignés. S'ils ne peuvent pas atteindre une chose qu'ils se sont mis en tête d'obtenir, c'est presque impossible. (p.161)
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