Je ne suis pas dans une cellule.
Je n’y vois rien mais je le sens,
Qu’il n’y pas de coin dans lequel se recroqueviller.
Qu’il y a ici, autour de moi,
Des dizaines de présences en souffrance.
Pas de porte.
Pas même une toute petit porte
À deviner non loin,
Pas la possibilité d’aspirer
À ce qu’il y aurait au-delà.
Quand plus tard c’est une lumière blanche
Qui nous dévoile l’un à l’autre,
Je supplie en moi-même
Que les néons s’éteignent à nouveau.