Le capitalisme moderne marchant à l'opulence a passé sur le corps de plusieurs générations de travailleurs qui vécurent dans des taudis, trimèrent de l'aube à la nuit tombée, ne connurent aucun liberté démocratique, livrèrent à l'usine dévoratrice jusqu'aux muscles débiles des gosses de huit ans...
Sur les os, la chair, le sang, la sueur de ces générations sacrifiées s'est bâtie toute la civilisation moderne.