Emmanuelle fatigue. Elle est là, elle est bien là, je le sens, mais elle ne voit plus très bien comment m’aider. Un matin, alors que je traîne des pieds en m’habillant, elle soupire. Et comme je ne l’ai jamais entendue soupirer avant, comme je ne lui ai jamais vu cet air grave, je tremble un peu. Elle soupire encore et me dit doucement : « Trouve quelque chose à faire qui te rende heureux. »