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Critiques de Viktor Kalvachev (13)
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Blue Estate Volume 3

Ce tome comprend les épisodes 9 à 12 de la maxisérie, parus en 2012. Il conclut la première saison, en apportant une fin en bonne et due forme aux différentes intrigues. Les épisodes 1 à 4 sont regroupés dans Blue Estate 1 et les épisodes 5 à 8 dans Blue Estate 2. Il est recommandé de commencer par le début.



Ça y est : le lecteur découvre pourquoi Rachel Maddox a été voir Roy Devine junior, et à quel moment se situe cette scène. Devine trouve le moyen de se renflouer un peu, et il a même l'occasion de récupérer le costume d'esclave de la Pincesse Leia. Malheureusement son retour à son bureau le met face à Lino & Mauro qui s'avèrent un peu moins professionnels que prévus. Rachel tombe aux mains de Vadim Razov qui ne plaisante plus. Tony Luciano doit conduire Blue Estate (un cheval de course) à son prochain grand prix, ordre de son père. Billy Ducharme désespère de réaliser une transaction immobilière. Il essaye de refourguer l'ancienne villa de Bruce Maddox à un jeune couple qui s'inquiète des formes humaines tracées à la craie sur le sol. David Hasselhoff fait une brève apparition le temps de 2 cases. Buddy & Gus se voient confier une mission. Les mafias italienne et russe convergent vers la demeure Blue Estate pour un règlement de compte en bonne et due forme.



Après les 2 premiers tomes, le lecteur sait à quoi s'attendre : une histoire bien tordue, des durs à qui la violence ne fait pas peur, des moments parodiques et décalés. Ça commence en force dès la page 2 où dessinateur et scénariste s'en donnent à coeur joie. La troisième case est occupée par un oeil inquisiteur agrandi par une loupe pour un effet surréaliste. Et le prêteur sur gages se moque de Roy Devine junior en le titillant avec le costume de Leia (forme douce de fétichisme d'adulescent) en présence de l'incendiaire Rachel. Ça continue avec Roy Devine junior maculant les souliers et le bas de pantalon de Mauro avec du vomi. D'un coté cela s'apparente à du gag bien gras, bien lourd ; de l'autre il s'agit d'une séquence qui peut être prise au premier degré. Viktor Kalvachev, Kosta Yanef et Andrew Osborne (les auteurs) s'offrent même le luxe d'insérer une image de conducteur de voiture en train de piler déclenchant l'airbag pour illustrer la catastrophe imminente ; et le lecteur découvre avec plaisir cette image quelques pages plus loin dans un autre contexte pour une autre signification plus littérale. Tout du long de ce final, ils marient une structure narrative sophistiquée avec l'humour sous plusieurs formes. Il est ainsi possible de passer de la cruauté physique sadique (une femme qui va passer à la gégène), à la dérision la plus saine (Vadim Razov s'apprêtant à se mesurer contre don Luciano dans une parodie de duel de western, ou même un cheval défoncé à la drogue). Et comment rester insensible au salut du Hoff (D. Hasselhoff, l'idole de Lino & Mauro), ou à la réapparition des termites ? Au fil des pages, il s'avère que l'humour prend franchement le dessus et que les scènes d'action versent plus dans la parodie que dans le premier degré. Kalvachev et consorts savent également manier le sous-entendu avec adresse, en particulier lorsqu'il s'agit de la spécialité sexuelle de Vassilia, la maîtrisse de Vadim Razov.



Comme pour les tomes précédents, les illustrateurs se succèdent de scène en scène, sans vraiment introduire trop d'écart de style. Le lecteur retrouve donc pêle-mêle Viktor Kalvachev, Toby Cypress, Nathan Fox, Robert Valley, Andy Khun, Dave Johnson (célèbre pour ses couvertures chez Marvel Comics), Kieran, Aleksi Briclot et Peter Nguyen. Comme dans le tome précédent, celui-ci se termine par 9 pages consacrées chacune à un dessinateur différent qui retrace la réalisation d'une page du comics du crayonné à la couleur en passant par l'encrage. Cela permet de se faire une vague idée non exhaustive de qui a dessiné quoi. Indépendamment de ce travail de groupe, le lecteur peut se régaler de nombreux visuels remarquables, de nature différente. Impossible, pour commencer, de résister au décolleté de Rachel. L'écart de conduite de Tony Luciano (il se rabat d'une file de gauche pour prendre la sortie d'autoroute) fait froid dans le dos pour les conducteurs obligés de l'éviter. Difficile d'oublier la position adoptée lors de leurs ébats par le jeune couple en train d'inaugurer leur nouvelle maison, à déconseiller pour toutes les personnes n'ayant pas atteint un niveau expert de contorsionniste professionnel. Et ce pauvre cheval en train de partir dans les vapes, affublé d'un bonnet rasta ! Aleksi Briclot prend en charge une scène d'action dans l'épisode 11, avec une efficacité impressionnante. Il s'agit de Clarence éliminant un à un les gardes postés autour de la demeure Blue Estate.



Arrivé à l'épisode 12, il s'avère que les auteurs préfèrent virer dans le grand guignol plutôt que de maintenir l'équilibre entre premier et second degrés. Le résultat est satisfaisant coté zygomatique ; par contre il détonne du reste de la série. C'est la raison pour laquelle j'enlève une étoile à ce tome.



Au final, "Blue Estate" est une excellente surprise. Il s'agit d'un polar bien tordu dans lequel s'affronte des individus pas toujours très bien dans leur tête, englué dans une situation inextricable de gens évoluant dans le même milieu et rendant l'eau de plus en plus trouble au fur et à mesure qu'ils agissent. Les auteurs de la série mêlent habilement le premier degré en rendant hommage aux polars américains à l'intrigue alambiquée, au second degré avec un humour aussi bien visuel que narratif. Le lecteur a le droit à une bonne dose de violence et de sadisme, lardée de bêtise humaine, de dérision, avec une pincée de blagues potaches.
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Blue estate

Ce tome contient les épisodes 5 à 8 de la maxisérie, parus en 2011. Il s'agit d'une histoire complète qui commence dans Blue Estate 1 (épisode 1 à 4) et se termine dans Blue Estate 3 (épisodes 9 à 12). Il faut impérativement avoir commencé par le tome 1.



Souvenez-vous dans le premier tome, Rachel Maddow fait irruption dans le bureau de Roy Devine junior, comme une furie. Eh bien dans ce tome, on ne sait toujours pas pourquoi. Par contre, il a été engagé par quelqu'un d'autre pour la prendre en filature. Quelque part dans le nord d'Hollywood, Billy Ducharme (le frère de Rachel) éclate les nains de jardin de ses 2 voisins baba-cool (Buddy & Gus) pour se détendre après son entretien infructueux avec Tony Luciano. Il retrouve Cherry Popz (sa copine stripteaseuse) avec Lino & Mauro (les 2 gorilles de Tony) dans son salon. Ils l'emmènent voir Tony qui exige de visiter sa future maison (le manoir appelé "Blue Estate"). Bruce Maddox finit par changer de stratégie et convient avec Marcellus (un grand black baraqué) qu'ils peuvent laisser Rachel vaquer à ses occupations. Bruce lui offre même les boucles d'oreille en diamants données en gage de paix par Vadim Razov. Tout baigne, sauf cette histoire de Clarence (tueur à gages) qui est également un ami intime de Rachel (sous le surnom de Johnny) et à qui on vient de commanditer un assassinat.



Embrouillé, ce n'est rien de le dire. Le scénario est l'oeuvre de Viktor Kalvachev et Kosta Yanev, avec des dialogues d'Andrew Osborne. Ils rendent hommage aux romans noirs de Raymond Chandler (tel Le grand sommeil) dont les intrigues sont complexes, mais néanmoins compréhensibles. Ce qui veut dire en bon français que le lecteur doit s'accrocher pour garder à l'esprit les liens qui unissent les uns aux autres, et l'évolution de ces liens. En 12 épisodes, Kalvachev et consorts n'ont pas le temps de trop embrouiller les pistes, mais la distribution est déjà conséquente : Roy Devine, Roy Devine junior, Tony Luciano, Don Luciano, Billy Ducharme, Rachel Maddox, Bruce Maddox, Johnny / Clarence, Vadim Razov, Alyosha Karimov (le Lion, wimboe wimboe wimboe), Cherry Popz et ses tatouages, Lino & Mauro, Buddy & Gus. Dès les premières séquences, il apparaît que l'intention principale de ces auteurs n'est pas tant de dérouler une intrigue bien tordue, plutôt que de créer des scènes et des visuels savoureux. Ça commence avec Billy Ducharme en train de défoncer une collection de nains de jardin en liberté sur une belle pelouse, à grands coups de tuyau en plomb. Ça continue avec Lino & Mauro (les 2 costauds peu futés) affublés de perruques improbables de type choucroute, assis sur un canapé. À peine remis, le lecteur assiste aux grimaces de Tony Luciano se faisant faire une petite gâterie sur la banquette arrière de sa limousine. Puis il y a cette image aussi séduisante que décalée de Cherry Popz en train de pédaler sur son vélo, au soleil de Californie, avec les palmiers en arrière plan et sa jolie robe rose flottant au vent. La suite implique une quantité impressionnante de termites, le sourire factice de Bruce Maddox faisant un numéro de charme à sa femme, et cette dernière usant de tout son savoir faire d'actrice pour convaincre Tony de sa bonne foi.



Le lecteur l'aura compris : Kalvachev et ses sbires récréent la quintessence des codes du polar américain. Si leur intrigue n'en est pas mois solide, ils s'intéressent plus à donner corps à ces moments qui déclenchent une pure décharge de divertissement de par leur artificialité et leur degré de cool. Et ils savent très bien le faire. La lecture devient addictive grâce à ce subtil mélange de suspense, de violence, de dérision et de second degré. Il est en particulier difficile de résister à l'humanité qui se dégage de Lino & Mauro au travers de leur admiration sans borne pour Hoff (David Hasselhoff, l'interprète inoubliable de Michael Knight et Mitch Bucannon).



Comme pour les 4 premiers épisodes, l'histoire a été illustrée par un groupe qui se partage les pages. Il s'agit de Viktor Kalvachev, Toby Cypress, Nathan Fox, Paul Maybury, Marley Zarcone, Tomm Coker, Andrew Robinson et Peter Nguyen. Malgré la multiplicité des intervenants, le résultat ne souffre pas trop d'une disparité. Il est vraisemblable que Kalvachev veille à la cohérence visuelle des personnages et des lieux. Chaque illustrateur s'offre son moment graphique mémorable, en cohérence avec la démarche narrative. La tension de Billy Ducharme se lit sur son visage quand il éclate les nains de jardin. Lino & Mauro sont magnifiques et grotesques avec leur perruque sur la tête (mention spéciale pour la choucroute brune). Cherry Popz irradie de sensualité dans sa robe rose mettant en valeurs ses tatouages par contraste. Les termites bénéficient d'un petit effet spécial qui fait que le trait servant à établir leur contour est orange plutôt que noir. Tony Luciano dispose d'un langage corporel exagéré qui traduit à la perfection son comportement de type qui se la joue, sans disposer de l'assurance ou de l'expérience nécessaire. Chaque dessinateur prête attention aux décors pour situer chaque scène dans un lieu spécifique. Et chaque stéréotype de film de gangsters se trouve transformé par l'interprétation visuelle qui comporte une part d'ironie. La rencontre obligatoire entre Don Luciano et Vadim Razov (la mafia italienne / le gang russe) se déroule dans un sauna. Il y a une case comportant un gros plan sur les pieds et chevilles des 2 parrains, ceux du Don ne touchent pas par terre. Évidemment leurs hommes de main ne sont pas loin, et il s'agit de montagnes de muscles dans des slips de bain ridicules, avec le pauvre type en costume qui va dérouiller.



Le tome se termine avec la reproduction des 4 couvertures réalisées par Viktor Kalvachev, 9 pages montrant chacune plusieurs stades d'avancement d'une page du récit dessinée par autant d'artistes différents (des crayonnés à la page en couleurs), 2 modèles en 3D de tête de personnages, un page de twits de Roy Devine junior, Bruce Maddox, Cherry Popz, et Lino & Mauro.



Ce deuxième tome confirme l'excellence de cette entreprise peu commune réunissant 3 scénaristes et 8 dessinateurs. Le lecteur continue de baguenauder dans les méandres d'une intrigue tortueuse, tout en savourant la bêtise de tous ces dangereux poseurs, victimes d'un destin facétieux. Viktor Kalvachev a également réalisé Pherone, une histoire complète en 1 tome.
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Blue estate, tome 1

Ce tome contient les 4 premiers épisodes de cette débutée en 2011, et indépendante de toute autre continuité.



Dès que j'ai vu la couverture, j'ai su que je ne pourrais pas résister : une pole-stripper, les masques de la comédie, un rail gigantesque, un verre de bourbon avec un flingue qui trempe dedans de manière suggestive. Mauvais goût, titillation et provocation : tiercé gagnant. Roy Devine junior est un détective privé jeune, boutonneux, gras, ado attardé, qui joue à la Wii en attendant le client. Une femme belle et élancée franchit la porte de son bureau, l'insulte franchement et lui en retourne une qui le fait choir de son fauteuil ; elle s'appelle Rachel Maddox. Bruce Maddox (son mari) réalise des films dans lesquels il joue, et financés par Vadim Petrovitch Razov, un criminel intouchable, mais bien identifié par les services de police pour ses activités allant de la prostitution au trafic de drogues, en passant par la vente illégale d'armes, et bien d'autres. Razov travaille avec Don Luciano qui a lui-même des connections avec la Maffia. Le père de Roy Devine travaille pour la police de Los Angeles et essaye depuis des années de faire tomber Don Luciano. Il ne faut pas oublier le garde du corps de Bruce Maddox, et l'ami attentionné de Rachel, Billy le frère de Rachel qui fait des affaires avec Tony Luciano, le fils du Don, et la copine de Billy (celle qui est sur la couverture).



C'est compliqué ? Oui, assez, comme de savoir qui a fait quoi parmi les auteurs. L'histoire a été écrite par Viktor Kalvachev et Kosta Yanev, les dialogues sont d'Andrew Osborne. Les illustrations sont réalisées, en fonction des pages, par Viktor Kalvachev, Toby Cypress, Nathan Fox, Robert Valley et Paul Maybury. Viktor Kalvachev assure la mise en couleurs de l'intégralité des épisodes, ainsi que la réalisation des couvertures.



C'est addictif ? Oui, et dès la première dose. L'histoire repose sur un fond de roman bien noir où la vie ne vaut pas cher, où les individus présentent des désordres mentaux plus ou moins visibles et plus ou moins marqués, où il ne semble pas y avoir d'issue heureuse possible pour qui ce soit. Kavalchev et Yanev introduisent des personnages qui sont tous liés entre eux, qui souhaitent chacun tirer leur épingle du jeu en blousant les autres, avec des joueurs très dangereux qui éliminent la concurrence et les traîtres d'une balle entre les 2 yeux (après les avoir torturés pour apprendre ce qu'ils savent). Mais ils n'écrivent pas un roman noir à l'ancienne, ils introduisent un second degré sous la forme de clins d'oeil à différents éléments culturels, ou au retournement habile de clichés narratifs propre à ce genre. Le détective privé n'a rien d'un dur à cuire, ou d'une grosse brute. Roy Devine Jr. ressemble plutôt à un bon à rien qui a arrêté de poursuivre ses études et qui abuse des jeux vidéos. Les caïds qui ordonnent un meurtre comme il écluse un whisky vivent avec la parano chevillée au corps pour pouvoir anticiper chaque coup fourré, chaque coup de couteau dans le dos, chaque retournement de veste. Les flics respectent les lois, sans être dupes du résultat, tout en cherchant comment coincer les criminels qui ne se salissent pas les mains. Les vrais tueurs à gage n'annoncent pas leurs intentions, pas plus qu'ils ne passent 2 pages à expliquer le pourquoi du comment, ils sont mortels tout de suite. Mais Kavalchev et Yanev savent exagérer le détail qui fera plus macho que macho, plus viril que viril (il faut voir le roi de la jungle se poudrer le nez, ou chanter "le lion est mort ce soir"), et ce sans désamorcer la tension narrative.



Le partage des illustrations entre 5 dessinateurs n'introduit pas de hiatus esthétique d'une page à l'autre. Là aussi, ils ont opté pour un style mariant la brutalité premier degré des stéréotypes, avec un second degré ironique délicieux. Dans la scène d'ouverture, les dessins montrent à la fois l'aspect réaliste de Roy Devine avec les poignets tordus dans une posture typique de la Wii. Le lecteur capte toute de suite ce registre réaliste qui emprunte des éléments à sa réalité quotidienne. En même temps, l'expression du visage du personnage est marquée d'un zeste d'exagération qui traduit son sentiment de culpabilité à être surpris par la belle liane qu'est Rachel Maddox. Chaque dessinateur trouve l'équilibre parfait entre les détails réalistes, les codes du polar noir entre malfrat plus ou moins intelligent (il faut contempler Tony Luciano déchaîné en animal de la jungle, magnifique) et un léger décalage qui indique au lecteur que les illustrateurs ont conscience de surjouer juste ce qu'il faut pour être à la frontière de la parodie, sans se moquer du récit au premier degré.



Généralement, 4 épisodes, c'est trop court pour que les auteurs installent les personnages, donnent le ton de la série et rentrent dans l'intrigue de manière significative. Ici, ces 4 épisodes atteignent chacun de ces objectifs, avec une ironie maîtrisée. Formidable.
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Blue Estate, Tome 3

Un épisode bouillonnant, impitoyable qui annonce la fin de la saga dans le prochain tome.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Blue Estate, tome 4

"Blue Estate" est un très bon polar loufoque qui finit en apothéose. C’est follement tonitruant et complètement régressif. Ca donne envie de se lever et de chanter avec Bob.
Lien : http://www.avoir-alire.com/b..
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Blue Estate, tome 4

Une fin d'histoire sulfureuse, aux accents hollywoodiens détournés, qui ravira les inconditionnels de Viktor Kalvachev et de polars provocateurs et totalement déjantés.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Blue Estate, Tome 3

L’ambiance de polar décomplexé continue de fonctionner à plein régime, tout en ne parvenant jamais à éviter ce léger sentiment de confusion, provoqué par la multitude de styles graphiques et de personnages.
Lien : http://www.actuabd.com/Blue-..
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Blue estate, tome 2

Le lecteur n’est jamais asphyxié sous les multiples degrés de lecture, mais cela, les scénaristes s’en balancent littéralement : cette série comporte suffisamment de seconds couteaux crapuleux, de combines minables, et de règlements de comptes entre petites frappes frimeuses dans les coulisses clinquantes d’Hollywood pour que nous boudions notre plaisir.
Lien : http://www.actuabd.com/Blue-..
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Blue estate, tome 2

Un deuxième volet efficient, qui ne s'embarrasse d'aucun préjugé, bénéficiant d'accents de polar crissant à l'américaine toujours aussi prometteurs et qui bousculent assurément la bonne morale.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Blue estate, tome 1

Un premier opus sombre et violent pour une thématique aux accents policiers efficace et sans appel, réalisé par un collectif bien motivé à secouer la sensibilité des lecteurs.


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Blue estate, tome 1

Au final, on a du mal à rentrer dans la danse et on observe ces personnages-marionnettes (déjà croisés au cinéma) avec un intérêt modéré. Le graphisme des quatre illustrateurs est à l’avenant : plutôt séduisant au premier abord, un peu moins envoûtant à la longue. Ce premier tome de Blue Estate est donc une demi-réussite; on compte sur le suivant pour relancer la machine.
Lien : http://www.bodoi.info/critiq..
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Blue estate, tome 1

Un bon premier volume [...], qui possède un charme un peu voyou et marche la tête haute. Rien de révolutionnaire, mais une intrigue efficace et des personnages bien campés. En espérant que la suite laissera de côté les quelques « poses » remarquées ici ou là ; Blue Estate ne s’en portera que mieux.


Lien : http://bulles-et-onomatopees..
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Blue estate, tome 1

Riche de promesses, c’est pourtant sur la durée, et dès le prochain volet, que Blue estate sera jugé (probablement coupable). Mentions spéciales pour la couverture, ensorcelante et venimeuse, et pour les couleurs qui garantissent l’unité de cette œuvre exécutée à multiples mains.
Lien : http://www.bdgest.com/critiq..
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