Il n’y avait pas de panique ni de fatalisme dans sa voix. Comme bon nombre de gens ayant vécu les premières crises, ce type était résigné et composait avec sa nouvelle réalité. Il avait fait le deuil d’une vie telle que l’avaient connue ses parents. Moins d’eau, moins de nourriture, des canicules et des phénomènes météo extrêmes.