C’est trop facile, là, à la fin de l’année, de la jouer tourmentée par la culpabilité en ressassant de vieilles images et des envies de pleurer. De quel droit je me complais là-dedans ? […] J’essaie de me persuader que j’ai compris des choses, appris de mes erreurs, mais je suis toujours une reine du lycée, toujours plus intéressée par moi-même que par les autres. Tout ce que je veux savoir c’est s’il me hait, pas comment il va.