Leur lecture du monde était celle d'un affrontement permanent, cela portait sur tous les domaines de la vie, et je dois dire que ça m'a marqué. Tout était un jeu à somme nulle : si certain s'en sortaient, c'était forcément parce que d'autres avaient la tête sous l'eau. Toutes ces contradictions sociales devaient immanquablement déboucher sur une catastrophe d'où émergerait un monde meilleur.