c'en est trop. ignorant courageusement la cible offerte sur la banquette d'en face, Gildas se lâche d'un ça suffit maintenant ! ,trois petits ronds de fumée qui sortent de sa soupape de sécurité et éloignent l'implosion. éloignent la colère et atténuent la douleur. trois petits mots qui franchissent le sas entre le dedans et le dehors, sortent d'une voix contenue mais clairement audible cependant, s'il en juge par le regard apeuré que lui jette la femme de l'autre coté. puis, instinctivement, elle tourne la tête vers la fenêtre, trop effrayée par cet inconnu qui s’énerve après elle pour lui demander ce qui lui prend. on ne sait jamais ou s’arrête la folie des gens.