W. G. Colber

h.d.s. fait du contre espionnage, et utilise tout ce qu' une femme possède pour parvenir à ses fins. et elle parviendra grâce à ses penchants lesbiens, son corps de déesse et ses vices secrets, a démanteler une puissante organisation étrangère.

une bonne bd d, espionnage, toujours aussi bien dessinée. avec des scènes torride. de bonne scène d,action.

très divertissant. pour adultes 😈.

nado prostituée de luxe possède une paire de seins énormes qui lui assure une clientèle riche et nombreuse. elle prend sous sa protection, marie laure une petite débutante de 16 ans.

qu'elle initie au plaisir de Lesbos. et l,

entraîne dans ses orgies a 2 , 4, voire 6

partenaires. tout en lui racontant ses aventures dans le métier.

un summum de vice et de perversité.

pour adultes 😈

Que dire sinon que c'est d'une nullité absolue (mais c'est sans doute sans doute le genre qui veut ça) ? Les dessins sont tellement laids et bâclés (je ne parle même pas du scénario) que l'album perd beaucoup de sa capacité à faire fantasmer. Bref, c'est de la BD porno de base, la médiocrité en est indissociable. J'ai lu ça à une époque où je lisais tout ce que je trouvais en matière de bande dessinée et je dois avouer qu'un seul album m'a largement suffi !

cleo jeune fille de quinze ans voit son père sauté la bonne émoustillée par ceux qu'elle voit elle va chercher son cousin pour faire pareil. surprise elle va être envoyé en pension chez les soeurs ou elle va découvrir les plaisirs lesbien.après on va suivre ses aventures jusqu'à ses dix neuf ans. il y aura même ses aventures lesbien avec Lydia une autre héroïne de Mancini.

c'est très bien dessiner.

coquin avec aussi de l humour mais pour adultes.👍

par une chaude soirée d, été, la marquise

ella jouy de la chagatte rédige une annonce pour trouvé un collaborateur pour écrire la vie de ses ascendantes.

le talentueux w.g. Colbert nous dévoile une autre facette de son talent. et la vie des ancêtres de notre belle marquise,

ne sont pas triste 😢. des aventures pleines de sexe, d, action. un graphisme superbe 👍. dans les coulisses de l, histoire de France, comme on nous la caché à l, école 🎒.une relecture audacieuse, divertissante et maligne.

pour adultes 😈.

cleo et sortie de pension

et elle va faire découvrir les plaisirs lesbien a sa cousine martine.

c'est gentiment coquin.👍

Parée du titre de Jouy de la Chagatte, Ella, marquise au tempérament volcanique, engage un historiographe, Manuel Heybezeur, pour écrire à quatre mains les aventures érotiques de son ancêtre Estelle.

Le récit de Colber alterne deux trames chronologiques : une contemporaine autour des frasques d'Ella et Manuel, l'autre centrée sur Estelle sous le règne de François II (1559-1560), à la cour de Catherine de Médicis (qui a air de Bernadette Chirac). Alors “récit”, c'est beaucoup dire faute de développement de l'histoire comme des personnages. Ils forniquent et c'est tout. Mais ça fonctionne grâce à l'ambiance décomplexée. Colber s'amuse – les noms des personnages sont éloquents – et assure le taf niveau dessin.
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Tania et Bertille sont infirmières et amantes. Très professionnelles à leur façon, elles couchent aussi bien avec les patients qu'avec les médecins du quartier. Puis arrivent comme un cheveu sur la soupe un gangster blessé à soigner, une fusillade, un resto pour se remettre des émotions fortes, l'évocation d'un vieux souvenir de jeunesse. Pas une once de liant, les scènes sortent de nulle part dans la plus parfaite incohérence. Le tout servi par un dessin plutôt moyen.
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Dans le premier tome, la marquise Ella, engageait un historiographe, Manuel, pour écrire à quatre mains les aventures érotiques de son ancêtre Estelle. Le récit de Colber alternait deux trames chronologiques : une contemporaine autour des frasques d’Ella et Manuel, l’autre centrée sur Estelle sous le règne de François II (1559-1560).

Dans ce tome 2, Amélie la soubrette se joint aux ébats d’Ella et Manuel, pendant qu’au XVIe siècle la situation part dans tous les sens entre figures royales (François II, Marie Stuart), suivantes (Estelle, Yolande), cochers, palefreniers et servantes. Les scènes s’enchaînent sans rimer à rien, mais on se laisse emporter par cette frénésie copulatoire.
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Maîtrise de droit, brevet de pilote, licence de musique, ceinture marron de judo, charme irrésistible, Hermeline de Santy dite HDS est une super contre-espionne. La voilà lancée dans une enquête rocambolesque défiant toute construction narrative. On ne pige rien, mais alors rien du tout, à l'enchaînement des événements entremêlés les uns dans les autres.

Mais c'est bien quand même, parce que le scénar, sur ce coup, on s'en bat les noix. Il n'est qu'un prétexte aux rencontres de HDS avec d'autres protagonistes, dont une majorité de femmes, rencontres qui finissent toujours en bisous, caresses, coups de langues bien placés et fantaisies avec des godemichés.

En plus, j'aime bien ce style de dessin rétro, très réaliste et détaillé, avec une patte graphique années 60-70.
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Désolé Agecanonix, je rejoins l'avis de Ro : ça me convient pas du tout. Le délire autour d'une gamine de quinze ans ... C'est pas parce que c'est légal qu'il faut le montrer, et là j'ai même franchement des doutes sur la légalité.

On passera sur le scénario, mince comme un sandwich SNCF, et je ne parle pas du fait que ça soit une orgie permanente sans véritable recherche esthétique ou de mise en scène. C'est du cul pour du cul, à deux, trois et plus, avec des nymphos qui en veulent toujours plus.



En fin de compte, je dirais que c'est du BD porno à l'ancienne. Ca vole pas haut et ça a pour seul but d'émoustiller le chaland, sans recherche, sans esthétique et sans aucune forme d'érotisme dans le récit. Si le dessin fait très classique du genre, je ne recommande surtout pas !