Dans le fantasme du patient, les particules expulsées du moi mènent une vie indépendante et incontrôlée, qu’elles soient contenues par les objets externes ou qu’elles les contiennent ; elles continuent d’exercer leurs fonctions comme si l’épreuve à laquelle elles ont été soumises n’avait servi qu’à accroître leur nombre et à provoquer leur hostilité envers la psyché qui les a éjectées. En conséquence, le patient se sent environné par des objets bizarres […].