Pourtant, alors qu'elle est assise sur "son" rocher à lui, au bord de la plage, qu'elle regarde le soleil qui se couche dans l'ouest rutilant, les grandes falaises sculptées de noir qui se dressent contre les bannières enflammées du vent, la mer plaquée d'or liquide, elle ne parvient pas à regretter. Comment se peut-il qu'une telle magie fasse partie de ce monde si ordinaire ? De ce matériau dont sont faits les contes de fées, l'existence quotidienne ne peut s'accommoder. (p 218-219)