Quand il s'endormait, la porte vers cet abîme s'ouvrait en grand, et il fallait circuler tout seul sur ces terres secrètes et étendues, circuler dans la solitude sur des chemins balayés de crépuscule, à travers d'infinis déserts où les âmes défuntes vivaient leur vie sans repos, et où toutes sortes de folies avaient libre cours.