Ces gens-là se permettaient de couper les cheveux aux femmes qui avaient couché avec les Allemands, ou tout simplement côtoyé. Il ne faut pas oublier que parmi ces femmes, certaines donnaient de précieux renseignements à la Résistance. C'était plus facile que de continuer à poursuivre les boches qui étaient encore planqués dans le grand bâtiment de la poste ou aux portes de Chartres et à une courte distance.
Dans les Ardennes, pendant l'offensive Allemande en décembre et janvier 1944, les G.I. enterrés dans des trous individuels, creusés à la hâte, de protection, n'avaient aucune chance face à eux. En effet, ceux-ci faisaient pivoter leurs chenilles et les enterraient… vivants.